Portrait de producteur : Nardin producteur d'anchois de Cantabrie au Pays Basque espagnol

Conservas Nardin produit les meilleurs anchois de Cantabrie du pays Basque Espagnol dans le respect de la tradition et du savoir-faire familial.

Conservas Nardi, les meilleurs anchois de Cantabrie

Conservas Nardin : LA référence pour les anchois de Cantabrie

Installée au nord du pays basque espagnol, sur la côte cantabrique, Conservas Nardin offre le meilleur des anchois de Cantabrie grâce à leur tradition et savoir-faire familial transmis de générations en générations. Chez Conservas Nardin le travail est fait à la main depuis plus de 100 ans, pêchés dans le golfe de Cantabrie, puis préparés sans peau ni arête, salé et mariné dans l’huile d’olive.  Depuis quelques années, Conservas Nardin décline l’anchois et propose également des anchois fumés dont la saveur et la texture sont absolument incomparables ! Fumés naturellement au bois, les anchois fumés Nardin ont d’ailleurs valu le prestigieux prix du « Great Tastes Awards ».

Les anchois Nardin, sélectionnés par les plus grands Chefs du monde

Aussi délicats que fondants, les anchois Nardin sont connus dans le monde entier pour la qualité de leur chair et leur goût très fin. Les conserves d’anchois Nardin ont conquis les plus grands Chefs. Les anchois Nardin sont d’ailleurs sélectionnés par Alain Ducasse lui-même dans ses différentes cuisines du monde entier. 

L’art de la salaison de l’anchois : une tradition familiale chez Conservas Nardin

Tout a commencé au début du 20ème siècle lorsque Giuseppe Oliveri, s’est installé sur la côte Cantabrique pour enseigner l’art et sa technique de salaison. 3 générations lui ont ensuite succédé, générations qui ont toutes dédié leur vie à l’art de la salaison de l’anchois de cantabrie, en travaillant dans des entreprises locales. En 1995, Mila, arrière petite fille de Giuseppe, et son mari, Sébastian ont décidé de reprendre l’affaire familiale qu’ils ont appelé « Conservas Nardin », en hommage au grand-père de Mila (fils de Giuseppe) qui s’appelait Leonardo, que tout le monde surnommait affectueusement Nardin. Aujourd’hui, ils continuent de travailler comme ils le font depuis toujours, en adaptant la production aux régulations actuelles, tout en préservant leurs techniques de salaison familiales et traditionnelles.